mardi 7 octobre 2008

UN SAMI A QUI L'ON VEUT DU BIEN



Voilà un visage et une voix qui traversent depuis quelques années les films les plus intéressants du nouveau cinéma d'auteur francophone. Sami Bouajila hante de sa présence magnétique des oeuvres fortes et originales comme "Les témoins" de Téchiné, "Drôle de félix", "Vivre me tue", ou "Pas si grave"... C'est Abdelhatif Kechiche mieux que quiconque qui a su le "mettre en lumière" dans son premier opus "La faute à Voltaire". Il faut le voir réciter dans le métro le "Mignonne allons voir si la rose..." de Ronsard aux côtés d'une Elodie Bouchez déjantée! Grave, sensuel, chaleureux, mélancolique ou solaire, il a tout ce qu'on peut attendre d'un ...premier rôle masculin. A suivre...

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